Echangeur d’Obala : une grande réalisation qui s’inscrit au rang des opportunités offertes par la reconstruction de la Nationale N°4.
Posté le : nov. 10, 2022, Par : alima - Dans : Actualités
Le Ministre des Travaux Publics a procédé ce jeudi, 10 novembre 2022, à la mise en service de l’échangeur d’Obala, infrastructure aménagée dans le cadre de la réhabilitation de la Nationale N°4, longue de 241 km entre Yaoundé et Babadjou et constituant la jonction entre les Nationales 1 et 4.
Le jeudi 10 novembre 2022 restera à coup sûr, une date mémorable pour la ville et les populations d’Obala d’une part et les usagers des Nationales 1 et 4 d’autre part, en raison de l’ouverture à la circulation de l’échangeur d’Obala. Etaient présents à ce grand rendez-vous, outre le Ministre des Travaux Publics, le Ministre des Transports, le Secrétaire d’Etat auprès du Ministre des Travaux publics chargé des Routes, le Secrétaire Général de la région du Centre, le Préfet du département de la Lékié, le sous-Préfet d’Obala, le Directeur général du Groupe la Banque Africaine de Développement pour l’Afrique centrale, les autorités administratives, traditionnelles, religieuses, aux côtés des populations riveraines, venues massivement témoigner de leur gratitude à l’endroit de celui qu’elles ont appelé « l’homme du devoir », le Président de la République, Paul BIYA.
Issu de la volonté de l’Etat du Cameroun d’arrimer ses infrastructures aux besoins futures et à ses ambitions économiques, l’Echangeur construit au lieu-dit Carrefour d'Obala fait partie des travaux de réhabilitation de la Nationale N°4, Yaoundé-Bafoussam-Babadjou, projet du Programme d’appui au secteur des transports, phase II, mis en œuvre par l’Etat Camerounais, avec le soutien de la Banque africaine de Développement. L’Etat du Cameroun s’est résolument engagé dans le développement de son réseau routier à travers la densification des infrastructures de transports et la modernisation de ces dernières. Cet ouvrage d’art qui a été construit en vingt-quatre (24) mois, est composé de 3,5 km de route bitumée constituant les voies de desserte de l’échangeur ; un pont à quatre travées avec une portée totale de 51,4 mètres linéaires ; 2327 mètres linéaires de glissières en béton armé ; 2488 mètres linéaires de glissières métalliques ; six (06) dalots dont cinq de 1m x 1m de section et un de 2 x 3m x 4m de section ; 654 mètres linéaires de caniveaux bétonnés ; 1642 mètres linéaires de fossés en maçonnerie de moellons ; 5897 mètres carrés de talus protégés par des perré-maçonnés et d’une aire de repos pour poids lourds avec une capacité de 68 parkings. La chaussée de l’ouvrage est constituée d’une structure de fondation de grave concassée 0/31.5 d’une épaisseur de 18 cm, la couche de base est constituée de grave bitume 0/14 de 10 cm d’épaisseur, le revêtement est réalisé en béton bitumineux 0/10 d’une épaisseur de 7 cm.
La réalisation de ces travaux exécutés par l’entreprise CGCOC GROUP, sous la maîtrise d’œuvre technique du Groupement SAFEGE A.C./SAFEGE/SPEA, ont nécessité une mobilisation financière de près de 5,343 milliards de FCFA Toutes Taxes comprises, financée par la Banque Africaine de Développement, partenaire technique et financier de l’Etat, et l’Etat du Cameroun.
Dans son discours, le Dr Serge N’guessan, Directeur général du Groupe de la Banque Africaine de Développement pour la région Centre, a précisé que le Programme d’Appui au Secteur des Transports phase II, est un important programme d’investissement dans le secteur routier, que le Gouvernement met en œuvre de manière satisfaisante. Il a ainsi salué l’engagement personnel et le leadership de Monsieur le Ministre des Travaux Publics, qui a « su trouver à temps, des solutions les plus appropriées pour favoriser l’avancement des travaux ».
Issu de la volonté de l’Etat du Cameroun d’arrimer ses infrastructures aux besoins futures et à ses ambitions économiques, l’Echangeur construit au lieu-dit Carrefour d'Obala fait partie des travaux de réhabilitation de la Nationale N°4, Yaoundé-Bafoussam-Babadjou, projet du Programme d’appui au secteur des transports, phase II, mis en œuvre par l’Etat Camerounais, avec le soutien de la Banque africaine de Développement. L’Etat du Cameroun s’est résolument engagé dans le développement de son réseau routier à travers la densification des infrastructures de transports et la modernisation de ces dernières. Cet ouvrage d’art qui a été construit en vingt-quatre (24) mois, est composé de 3,5 km de route bitumée constituant les voies de desserte de l’échangeur ; un pont à quatre travées avec une portée totale de 51,4 mètres linéaires ; 2327 mètres linéaires de glissières en béton armé ; 2488 mètres linéaires de glissières métalliques ; six (06) dalots dont cinq de 1m x 1m de section et un de 2 x 3m x 4m de section ; 654 mètres linéaires de caniveaux bétonnés ; 1642 mètres linéaires de fossés en maçonnerie de moellons ; 5897 mètres carrés de talus protégés par des perré-maçonnés et d’une aire de repos pour poids lourds avec une capacité de 68 parkings. La chaussée de l’ouvrage est constituée d’une structure de fondation de grave concassée 0/31.5 d’une épaisseur de 18 cm, la couche de base est constituée de grave bitume 0/14 de 10 cm d’épaisseur, le revêtement est réalisé en béton bitumineux 0/10 d’une épaisseur de 7 cm.
La réalisation de ces travaux exécutés par l’entreprise CGCOC GROUP, sous la maîtrise d’œuvre technique du Groupement SAFEGE A.C./SAFEGE/SPEA, ont nécessité une mobilisation financière de près de 5,343 milliards de FCFA Toutes Taxes comprises, financée par la Banque Africaine de Développement, partenaire technique et financier de l’Etat, et l’Etat du Cameroun.
Dans son discours, le Dr Serge N’guessan, Directeur général du Groupe de la Banque Africaine de Développement pour la région Centre, a précisé que le Programme d’Appui au Secteur des Transports phase II, est un important programme d’investissement dans le secteur routier, que le Gouvernement met en œuvre de manière satisfaisante. Il a ainsi salué l’engagement personnel et le leadership de Monsieur le Ministre des Travaux Publics, qui a « su trouver à temps, des solutions les plus appropriées pour favoriser l’avancement des travaux ».
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